Alex est une Anglaise de 22 ans. La jeune femme a été victime de ce qu'on appelle en anglais le "porn revenge", soit la vengeance porno. Son ex-petit ami a posté 21 photos d'elle totalement nue sur Facebook.
Le début de carrière d'Alex est ruinée suite à cette publication: ses futurs employeurs trouvent facilement les photos coquines sur Internet. Elle avait pourtant rapidement signalé les clichés problématiques à Facebook. Elles ont été supprimées mais une personne mal intentionnée s'était déjà chargée de les partager sur un site de vengeance porno, avec son nom complet et d'autres détails personnels. Qui connaît son vrai nom peut désormais la voir nue dans Google.
Alex, étudiante en droit, a décidé de transformer cette humiliation en combat. Elle veut que le porno vengeur soit reconnue comme infraction sexuelle. "La vengeance porno a un effet sur votre vie qui doit être reconnu officiellement", dit-elle. Elle a lancé une pétition pour que le sujet soit abordé au parlement anglais. Elle a besoin de 100.000 signatures. La pétition en compte 1370 à l'heure où l'on écrit ces lignes. Sur Twitter, le hashtag #BanRevengePorn invite les gens à expliquer pourquoi ils veulent une interdiction de cette pratique honteuse.
Alex, étudiante en droit, a décidé de transformer cette humiliation en combat. Elle veut que le porno vengeur soit reconnue comme infraction sexuelle. "La vengeance porno a un effet sur votre vie qui doit être reconnu officiellement", dit-elle. Elle a lancé une pétition pour que le sujet soit abordé au parlement anglais. Elle a besoin de 100.000 signatures. La pétition en compte 1370 à l'heure où l'on écrit ces lignes. Sur Twitter, le hashtag #BanRevengePorn invite les gens à expliquer pourquoi ils veulent une interdiction de cette pratique honteuse.
7sur7.be